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    Dublin Millenium ...

     

    Voici un titre de 1988 fait par " the Band Of Dubs"  " Les Gars de Dublin"  un ensemble choral de chanteurs irlandais de Dublin pour célébrer en 1988 le Millénaire de la ville .

    Le bénéfice de ce vinyle allant exclusivement à ALONE un groupe d'action volontaire fondée par un pompier .

    Les chanteurs sont ;

    Paddy Moloney (Chieftains)
    Maire Ní Bhráionáin (Clannad)
    Leslie Dowdall (In Tua Nua)
    Maura O’ Connell
    Mary Black
    Finbar Furey
    Johnny Logan
    Jim McCann
    Christy Moore
    Paul Brady
    Colm Wilkinson
    Ronnie Drew
    Shay Healy
    Tony Kelly
    The Dubliners
    The Fureys/Davey Arthur

     

    Il s'agit d'une chanson traditionnelle dublinoise "Molly Mallone "

     

     

    Dublin Millenium ...

     

    Merci Wikipédia pour l'histoire ....

     

    Molly Malone, sa chanson s'appelle Cockles and Mussels (les bucardes ou coques  et les moules), est l'hymne officiel de la ville de Dublin. La chanson raconte l'histoire d'une belle poissonnière qui exerçait son métier dans les rues de Dublin, mais qui est morte de la fièvre alors qu'elle était encore jeune.

     

    Statue de Molly Malone dans Grafton Street à Dublin

     

    Une statue commémorative, conçue par Jean Rynhart et située en bas de Grafton Street à Dublin, a été érigée en son honneur pour fêter le premier millénaire de la ville en 1987. Restaurée elle a été replacée à St Andrew's street en juillet 2014. Cette statue est familièrement nommée « The Tart with the Cart » (la prostituée à la charrette). Elle représente Molly Malone comme une jeune femme à la poitrine plantureuse, habillée à la mode du XVIIe siècle et prétend montrer la véritable personne sur laquelle la chanson est basée. On justifie sa robe décolletée et sa poitrine généreuse par le fait que, à l'époque de Molly, les femmes allaitaient en public et que de ce fait, leurs seins étaient visibles de tous.

    Une légende urbaine a grandi autour de l'image de la Molly Malone historique qui a été présentée à la fois comme une marchande ambulante le jour et une prostituée à temps partiel la nuit, ou, au contraire, comme une des rares femmes marchandes ambulantes de son temps qui était chaste.

    Cependant, il n'existe aucune preuve que la chanson soit basée sur une personne ayant réellement existé au XVIIe siècle, ou à n'importe quel autre moment, bien que certains affirment avoir localisé ses actes de naissance et de décès. Il y a sans aucun doute eu beaucoup de Mary ou de Molly nées à Dublin au cours des siècles, mais il n'y a rien qui puisse relier aucune d'entre elles aux événements évoqués dans la chanson. Il n'existe d’ailleurs aucune trace de cette chanson avant le début des années 1880, pendant lesquelles une œuvre composée et écrite par James Yorkston d'Édimbourg a été publiée. Elle est dans un registre tragi-comique habituel populaire à cette époque, probablement influencée par des chansons plus anciennes aux thèmes similaires, telle que My Darling Clementine de Percy Montross, qui a été écrite vers 1880.

    Paroles 

    In Dublin's fair city,

    where the girls are so pretty,
    I first set my eyes on sweet Molly Malone,
    As she wheeled her wheel-barrow,
    Through streets broad and narrow,
    Crying, "Cockles and mussels, alive alive oh!"

    "Alive-a-live-oh,
    Alive-a-live-oh",
    Crying "Cockles and mussels, alive alive oh".

    She was a fishmonger,
    But sure 'twas no wonder,
    For so were her father and mother before,
    And they each wheeled their barrow,
    Through streets broad and narrow,
    Crying, "Cockles and mussels, alive, alive oh!"

    (chorus)

    She died of a fever,
    And no one could save her,
    And that was the end of sweet Molly Malone.
    But her ghost wheels her barrow,
    Through streets broad and narrow,
    Crying, "Cockles and mussels, alive, alive oh!"

    (chorus)

    Traduction

    Dans la belle ville de Dublin
    Où les filles sont si jolies
    J'ai pour la première fois posé les yeux sur la douce Molly Malone
    Alors qu'elle poussait sa charrette
    À travers les rues larges et étroites
    En criant : « Coques et moules ! Fraîches, bien fraîches ! »

    Refrain

    Fraîches, bien fraîches
    Fraîches, bien fraîches
    En criant : « Coques et moules ! Fraîches, bien fraîches ! »
    Elle était marchande de poisson
    Mais pour sûr ça n'avait rien d'étonnant
    Car c'est ce que sa mère et son père étaient
    Et chacun d'eux auparavant poussait sa charrette
    À travers les rues, larges et étroites
    En criant : « Coques et moules ! Fraîches, bien fraîches ! »

    Refrain

    Elle mourut d'une fièvre
    Et personne ne put la sauver
    Et ce fut la fin de ma douce Molly Malone
    Mais son fantôme pousse sa charrette
    À travers les rues larges et étroites,
    En criant : « Coques et moules ! Fraîches, bien fraîches ! »

    Refrain

     

     

      

       


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  • Al Hirschfeld : Le Roi de la caricature de Broadway

    Al Hirschfeld

     

    Le style unique de Hirschfeld a influencé de nombreux artistes, illustrateurs et dessinateurs. Ses caricatures sont très souvent des dessins épurés à l'encre noire, dans laquelle il trempait une authentique plume de corbeau.

    En 1943, Hirschfeld se marie avec une actrice célèbre en Europe, Dolly Haas. Mariés pendant plus de 50 ans, ils eurent une fille, Nina. Hirschfeld est célèbre pour avoir écrit le prénom de sa fille caché dans la plupart des dessins qu'il produisit après sa naissance.

    En 1996, il épouse Louise Kerz, historienne du théâtre.

    Le 20 janvier 2003, Hirschfeld meurt à son domicile  à Manhattan.

    "Une bonne caricature, comme toute œuvre d'art, est plus fidèle à la vie que la réalité elle-même."

    Ce sont les mots d' Annibale Carracci (1560-1609), le célèbre peintre baroque du XVIe siècle qui a donné son nom à l'art. En regardant le travail d' Al Hirschfeld, cette affirmation semble prendre encore plus d'importance. Hirschfeld était un maître dans son art. Souvent, ses caricatures semblaient plus réelles que les personnages qu'elles représentaient. De ses premières œuvres en 1926 jusqu'à sa mort en 2003, les dessins de Hirschfeld sont toujours restés vitaux et pertinents.

    Des dramaturges et des danseurs aux stars de la scène et de l'écran, Hirschfeld les a tous dessinés

    Presque tout le monde a estimé qu'il était un honneur d'être une caricature Al Hirschfeld.

    Hirschfeld est surtout connu pour le travail qu'il a fait au New York Times

    Auto-portrait

    Al Hirschfeld : Le Roi de la caricature de Broadway

     

    Colm Wilkinson n'a pas échappé à sa plume en voici les caricatures 

    COLM WILKINSON LES MISERABLES 4 septembre 1987 NEW YORK TIMES

    Al Hirschfeld : Le Roi de la caricature de Broadway

     

    COLM WILKINSON - TERRANCE MANN  LES MISERABLES 1987 

    Al Hirschfeld : Le Roi de la caricature de Broadway

     

     

     

     

     

     

    COLM WILKINSON THE PHANTOM 25 avril 1994

    Al Hirschfeld : Le Roi de la caricature de Broadway

     

    CAMERON MACKINTOSH  1992 AVEC LES PERSONNAGES DES SPECTACLES QU'IL A PRODUIT  

    ON PEUT RECONNAÎTRE  COLM WILKINSON - TERRANCE MANN - BERNADETTE PETERS - JONATHAN PRYCE - LEA SALONGA

    Al Hirschfeld : Le Roi de la caricature de Broadway


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