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Mack The Knife ... Colm , Albert Préjean , Hugues Aufray , Catherine Sauvage
"Mack The Knife" est tiré de l'Opéra de Quat'sous en 1928 , titre français "La Complainte de Mackie"
C' est une des chansons de cette comédie musicale allemande. La chanteuse originale était Lotte Lenya en 1928 puis aussi dans la version de Broadway de 1954 .
Version jazzy Colm Wilkinson
Versions françaises
Albert Préjean - 1960
Hugues Aufray - 1958
Catherine Sauvage
Tags : mack the knife, la complainte de mackie, albert préjean, hugues aufray, catherine sauvage
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Commentaires
bonjour nadine
j'espère que tu profite bien du soleil qui nous chauffe
le plus dur c'est les nuits, fait lourd
bonne journée
bisous
3CerdanMercredi 20 Juillet 2016 à 09:46Tu es donc concernée par le report des dates ?
Bonnes vacances et à bientôt....pour d'autres aventures !
Biz.
4escapade40Mercredi 20 Juillet 2016 à 11:24Bonjour Nadine , oui j'aime beaucoup la version jazzy qui est très " cool " et rythmée , merci Nadine . Bonne semaine ensoleillée , enfin peut être chez toi ! . Bisous , escapade ,
5mimi07Mercredi 20 Juillet 2016 à 13:32coucou ma nad!!je reste en pause!!
j'ai toujours du mal a trop rester assise!!
bonne journee et gros bisous
6filles du vaucluseMercredi 20 Juillet 2016 à 15:09bonsoir, comme je me souviens de cette chanson, en lisant ton article le titre ne me disait rien mais en l'écoutant la mémoire a tilté !!!
merci pour la piqûre de rappel
bisous
Bonsoir ma douce amie Nadine
Magnifiques toutes ces versions, j'aime celles de Colm et d'Hugues Aufray en particulier.
Profite bien de ta pause et je te souhaite de délicieuses vacances ma douce amie.
Avec cette jolie poésie d’Auguste Lacaussade, je viens te remercier pour ton gentil passage et te souhaiter une belle nuit étoilée.
Prends bien soin de toi et gros bisous d’amitié de mon ti rocher.
♥♥♥
Les Soleils de Juillet
A ELLE
Les voici revenus, les jours que vous aimez,
Les longs jours bleus et clairs sous des cieux sans nuage.
La vallée est en fleur, et les bois embaumés
Ouvrent sur les gazons leur balsamique ombrage.
Tandis que le soleil, roi du splendide été,
Verse tranquillement sa puissante clarté,
Au pied de ce grand chêne aux ramures superbes,
Amie, asseyons-nous dans la fraîcheur des herbes ;
Et là, nos longs regards perdus au bord des cieux,
Allant des prés fleuris dans l’éther spacieux,
Ensemble contemplons ces beaux coteaux, ces plaines
Où les vents de midi, sous leurs lentes haleines,
Font des blés mûrissants ondoyer les moissons.
Avec moi contemplez ces calmes horizons,
Ce transparent azur que la noire hirondelle
Emplit de cris joyeux et franchit d’un coup d’aile ;
Et là-bas ces grands bœufs ruminants et couchés,
Et plus loin ces hameaux d’où montent les clochers,
Et ce château désert, ces croulantes tourelles,
Qu’animent de leur vol les blanches tourterelles,
Et ce fleuve paisible au nonchalant détour,
Et ces ravins ombreux, frais abris du pâtour,
Et tout ce paysage, heureux et pacifique,
Où s’épanche à flots d’or un soleil magnifique !…
O soleils de juillet ! ô lumière ! ô splendeurs !
Radieux firmament ! sereines profondeurs !
Mois puissants qui versez tant de sèves brûlantes
Dans les veines de l’homme et les veines des plantes,
Mois créateurs ! beaux mois ! je vous aime et bénis.
Par vous les bois chargés de feuilles et de nids,
S’emplissent de chansons, de tiédeurs et d’arômes.
Les arbres, dans l’azur ouvrant leurs larges dômes,
Balancent sur nos fronts avec l’encens des fleurs
Les voix de la fauvette et des merles siffleurs.
Tout est heureux, tout chante, ô saison radieuse !
Car tout aspire et boit ta flamme glorieuse.
Par toi nous vient la vie, et ta chaude clarté
Mûrit pour le bonheur et pour la volupté
La vierge, cette fleur divine et qui s’ignore.
Dans les vallons d’Éden, sereine et pure encore,
Sous tes rayons rêvant son rêve maternel,
A l’ombre des palmiers Ève connût Abel.
Abel dans ses enfants en garde souvenance.
Aussi, quand brûle au ciel ta féconde puissance,
O mère des longs jours ! lumineuse saison !
Oubliant tout, Caïn, l’ombre, la trahison,
La race enfant d’Abel, fille de la lumière,
Race aimante et fidèle à sa bonté première,
Avec l’onde et la fleur, avec le rossignol,
Ce qui chante dans l’air ou fleurit sur le sol,
S’en va disant partout devant ta clarté blonde :
« Combien tous les bons cœurs sont heureux d’être au monde ! »
Et moi, je suis des leurs ! Épris d’azur et d’air,
Quand ton astre me luit dans le firmament clair,
Avant midi j’accours, sous l’arbre où tu m’accueilles,
Saluer en plein bois la jeunesse des feuilles !
Là, dans l’herbe caché, seul avec mes pensers,
J’ai bien vite oublié les mauvais jours passés.
Sous les rameaux lustrés où ta clarté ruisselle,
Je bois en paix ma part de vie universelle.
Les sens enveloppés de tes tièdes réseaux,
J’écoute autour de moi mes frères les oiseaux ;
Avec l’herbe et l’insecte, avec l’onde et la brise,
Sympathique rêveur, mon esprit fraternise.
Voilé d’ombre dorée et les yeux entr’ouverts,
L’âme pleine d’accords, je médite des vers.
Mais si, comme aujourd’hui, ma pâle bien-aimée
M’a voulu suivre au bois, sous la haute ramée,
Si ma charmante amie aux regards veloutés
A voulu tout un jour, pensive à mes côtés,
Oubliant et la ville et la vie et nos chaînes,
Boire avec moi la paix qui tombe des grands chênes ;
Sur les mousses assis, mon front sur ses genoux,
Plongeant mes longs regards dans ses regards si doux,
Ah ! je ne rêve plus de vers !… Sous son sourire
Chante au fond de mon âme une ineffable lyre ;
Et des arbres, des fleurs, des grâces de l’été,
Mon œil ne voit, mon cœur ne sent que sa beauté !
Et dans ses noirs cheveux glissant un doigt timide,
J’y pose en frémissant quelque beau lys humide ;
Et, muet à ses pieds, et sa main sur ma main,
J’effeuille vaguement des tiges de jasmin ;
Et leur vive senteur m’enivre, et sur notre âme
Comme un vent tiède passe une haleine de flamme !…
O flammes de juillet ! soleils de volupté !
Saveur des baisers pris dans le bois écarté !
O chevelure moite et sous des mains aimées
S’épandant sur mon front en grappes parfumées !
Des fleurs sous la forêt pénétrante senteur,
Arbres de feux baignés, heures de molle ardeur,
Heures où sur notre âme, ivre de solitude,
Le calme des grands bois règne avec plénitude ;
Tranquillité de l’air, soupirs mystérieux,
Dialogue muet des yeux parlant aux yeux ;
Longs silences coupés de paroles plus douces
Que les murmures frais de l’eau parmi les mousses ;
O souvenirs cueillis au pied des chênes verts,
Vous vivez dans mon cœur. Vous vivrez dans mes vers !
Auguste Lacaussade, Poèmes et Paysages
♥♥♥
Bonjour Nad*
Oh que c'est joli j'aime beaucoup je connais bien ces chansons une belle version....j'espère que tu vas bien, le soleil brille il fait encore bien chaud je vais te souhaite une douce journée et t'envoie des milliers de bisous d'amitié
Marlène
10geossJeudi 21 Juillet 2016 à 12:19bonjour Nadine
trois versions bien différente un Colm très jazzy .. j'adore
bonne journée à toi
bisous ... Georges
coucou Nadine,
toujours de belles découvertes chez toi, je connais bien cette chanson, par contre je n'avais jamais entendu la version de Hugues Auffrey, très belle interprétation de Colm, j'aime beaucoup !!
et bien bonnes vacances et reviens nous en pleine forme,
gros bisous et à bientôt !
Hello ma douce Nadine , belle chanson de Colm , merci .
Bon Week end et surtout porte toi bien bisous de Mirella qui t'aime bien .
13mimi07Vendredi 22 Juillet 2016 à 12:04coucou ma nad!!je te souhaite un bon weekend
et une bonne pause!!tu as raison!!
j'espere que ton pere va mieux!!!gros bisous
14ElantraSamedi 23 Juillet 2016 à 21:01Allô p'tite soeur,
J'ai bien aimer les trois versions mais peut-être que plusieurs autres chanteurs et chanteuses l'ont aussi chanter. J'espère que la chaleur ne t'incommode pas trop, moi je ne me plaint pas et je suis très bien à l'intérieur. Bonne vacance et profite des journées à ne rien faire...
Bisous et bonne fin de semaine,
Ton p'tit frère qui t'aime bien.
Révérence chère Nadine,
Je ne connaissais pas ces chansons, intéressant article que tu as posté.
Je vois que tu es en pause alors bonnes vacances, profites-en bien !
A bientôt, bon dimanche et agréable semaine.
Amitié et gros bisous de Florence
16mimi07Lundi 25 Juillet 2016 à 10:43Bonjour Nad
Merci pour ces belles vidéos, un petit moment de plaisir à partager, j'espère que tu as passé un bon weekend chez nous le soleil est de retour mais pas eu beaucoup de pluie quand même je te souhaite une douce journée gros, gros bisous
Marlène
Hello ma chere et douce Nadine , je viens te souhaiter une bonne fin de semaine , porte toi bien et j'espere que ton Papa va mieux . Bisous de Mirella qui t'aime bien .
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Bonjour ma gentille Nadine .
La programmation des articles étant ainsi faite ...
Du PORTUGAL , nous sommes passés en chantant à la BELGIQUE .
MERCI d'avoir exprimé ton choix musical .
SUPERBES ... Ces multi - versions .
J'avais totalement oublié la version d ' ALBERT PREJEAN .
Je l'ai replacé dans mon tiroir à mémoire ! LOL
Bonnes vacances ma Nadine .
Profites bien de ces moments de détentes .
Gros bisous ensoleillés ... D♥n .